Elizabeth Gilles

Biographie

Montpelliéraine, Alsacienne, Bordelaise et Périgourdine, Elizabeth aime à citer qu’ « elle ne vient d’aucune famille et que sa maison est l’univers. » Dès sa naissance, sa famille a vite compris que l’unique chose qui pouvait réellement la maintenir au calme était de l’asseoir devant La Guerre des Étoiles, l’Empire contre-attaque et Le Retour du Jedi, tournant en boucle sur l’écran du salon. Ainsi, dès son plus jeune âge, Elizabeth fut formée au pouvoir de la Force ainsi qu’à l’art du Cliffhangher. Malheureusement, les choses de l’enfance s’oublient vite et il semblerait qu’elle ne sache plus manipuler ni l’un ni l’autre…

Descendante directe de pratiquants d’arts martiaux japonais, elle a finalement appris à marcher sur les tatamis, même si tout le monde s’accorde pour dire qu’elle nageait avant de se déplacer sur deux jambes. Ces deux passions ne l’auront d’ailleurs jamais totalement quittée, même si la vie fit qu’il n’y a décidément que vingt-quatre heures dans une journée.

En grandissant, Elizabeth dévore absolument tout ce qu’il lui passe sous la main, en terme de livres, bien sûr. Aussi, après avoir avalé l’entière collection de la Comtesse de Ségur, elle tombe par hasard sur celle des Chairs de Poule, puis elle décide qu’il lui faut davantage et lit la bibliographie d’Agatha Christie avant de se jeter sur les œuvres de Stephen King.

Elizabeth découvre la science fiction, la fantasy et le fantastique par la télé et le cinéma d’abord. Aussi, la série télévisée « Buffy contre les Vampires », l’animé « Sakura Cardcaptor », l’épopée de « l’Histoire sans Fin » et la trilogie « Matrix » lui ouvrent de nouveaux horizons et elle se prend alors à explorer d’autres genres. Elle ouvre alors la trilogie de Phillip Pullman « La Croisée des Mondes », puis s’attaque à celle du « Seigneur des Anneaux » avant de faire de J.R.R Tolkien son dieu vivant sur terre. Dans le même temps, elle découvre que « la boîte grise à côté de la télé » est en fait une playstation et que ses Final Fantasy VIII, IX et X ne sont finalement pas mal du tout.

Des livres, notre auteure en aura lu d’autres qui viendront remplir sa bibliothèque et qui l’obligeront d’ailleurs à s’en acheter récemment une nouvelle, au grand dam de son compagnon dans la vie, qui voit les bouquins s’accumuler dans son salon sans pouvoir les arrêter. Aujourd’hui, c’est paré de ses lunettes et de sa tasse de thé fumant qu’Elizabeth aime se poser, ses deux chats et son jack russel sur les genoux, pour lire et rêvasser… quand le temps le lui permet.

Blibliographie

Elizabeth ne sait pas si on peut réellement appeler ça une « bibliographie » car elle compte bien plus d’œuvres inachevées que d’achevées. Aussi nous compterons dans la première catégorie :

  • Mister Jack

… et c’est tout.

Dans le cadre de la revue Étherval

  • Revue 0 : Tempus Fugit
    • Auteur de la nouvelle Mister Jack.
    • Participation audio pour la nouvelle Mister Jack.
  • Revue 1 : Tu quoque fili
    • Auteure de la nouvelle Toujours
    • Participation audio pour la nouvelle Toujours (narration et Leïla), Trahison (narration)
  • Revue 2 : Ut Pictura Ars Magica
    • Participation audio pour la nouvelle Nuances (narration), États d’âme (Secret), Santa Luna (la Cowboy)
  • Revue 3 : Mare Nostrum
    • Participation audio pour les nouvelles Au-delà de la mer (Narration), Au nom du Père (Sirène), Hulba (Narration), La Voix de l’océan (Mer), Prison d’écailles (Jade)

Son univers et ses projets

Voilà la partie des écrits inachevés ! Youpi !

Outre deux nouvelles en cours pour sa participation à la prochaine revue, Elizabeth s’est lancée en 2006 dans l’écriture d’un roman de Fantasy dont elle a eu l’inspiration par un rêve. Nommé « Générations », ce roman poursuit son cours et prend place dans une « galaxie lointaine, très lointaine ». Même si le plan de ce récit est déjà entièrement créé, le temps de la réécriture et de la correction fait qu’il est loin d’être achevé.

Aussi, en travaillant sur ce premier roman et en se creusant la tête pour des idées de nouvelles, vint l’idée d’un deuxième roman se basant sur le background très vaste de « Générations »… Ainsi naquit « Deus Ex Machina » au moins autant achevé que son aîné. Et comme l’auteure est incapable de faire de résumé correct, vous ne saurez rien de ces deux projets, voilà, Na.

Galerie

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